Les animaux sont-ils vraiment des gens ?

En voulant renforcer le bien-être et les conditions de vie des animaux, « un groupe de protection des animaux aux États-Unis a porté plainte devant un tribunal de New York pour faire reconnaître un chimpanzé comme une personne légale, dans ce qui semble être une première judiciaire » (BBC, 4 décembre 2013).

Le fondateur du Projet pour les droits des non-humains a annoncé : « Nous déclarons que les chimpanzés sont autonomes – c’est-à-dire, capables d’user de leur libre-arbitre, d’être conscients et de choisir comment ils veulent vivre leur vie […] Une fois que nous aurons prouvé que les chimpanzés sont autonomes, cela devrait être suffisant pour leur faire obtenir une personnalité légale et que leurs intérêts fondamentaux soient enfin protégés par les droits de l’homme » (BBC, 4 décembre 2013). Le but de ce groupe est qu’un chimpanzé soit retiré de la cage où il est retenu pour être placé dans une réserve naturelle (ibid.).

La Bible révèle que Dieu plaça Adam et Ève dans un jardin et qu’Il leur confia la mission « d’assujettir » et de « dominer » les animaux (Genèse 1 :27-28). Dieu a créé les animaux pour qu’ils soient bien traités au sein du reste de la création (Proverbe 12 :10). Cependant, la Bible montre clairement que les animaux ne sont pas des êtres humains. À leur mort, « l’esprit » des êtres humains retourne à Dieu et il est préservé pour la résurrection (Écclésiaste 3 :21 ; Jean 3 :13 ; Ézéchiel 37 :11-14 ; 1 Corinthiens 15 :50-54), tandis que l’esprit des animaux disparaît (Écclésiaste 3 :21).

Les idées et les actes de notre société bien-pensante, mais aveuglée, illustrent bien la véracité de cette déclaration divine : « Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu » (1 Corinthiens 3 :19).