Le problème des Malouines réapparaît en Amérique du Sud

Le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay (une nation enclavée) ont soutenu la décision de l’Argentine en bloquant l’accès de leurs ports aux bateaux sous pavillon malouin.

La présidente argentine Cristina Fernandez de Kirchner a « assuré que la Grande-Bretagne était prête à utiliser l’armée pour voler des ressources naturelles “n’importe où, n’importe comment” ». La Grande-Bretagne contrôle ces îles depuis les années 1830 et la plupart des habitants souhaitent rester sous la tutelle britannique. La Grande-Bretagne a réagi fermement, un ancien dirigeant de la marine britannique a même demandé à ce qu’un sous-marin nucléaire soit envoyé dans l’Atlantique Sud, qu’il fasse surface de temps en temps et qu’il « montre son kiosque afin de décourager les agressions ».

Le ministre de la Défense a « dépoussiéré » et modifié les plans de défense de 2010 pour les Malouines. Cependant, de nombreux experts pensent que l’usage de la force ne sera pas nécessaire. Non seulement, l’Argentine n’est pas perçue comme une grande menace, mais il y a probablement d’autres moyens d’éviter une confrontation (MailOnline, 26 décembre 2011). Les pressions internationales, pour que la Grande-Bretagne abandonne son contrôle sur les Malouines, sont de plus en plus pressantes.

Il y a plusieurs milliers d’années, Dieu avait promis à la femme d’Isaac, Rebecca, que ses descendants « possèderaient la porte de leurs ennemis » (Genèse 24 :60). L’Église de Dieu a compris depuis longtemps que ces portes englobaient les portes maritimes possédées par les États-Unis et la Grande-Bretagne à travers le monde. Il ne leur reste plus que Gibraltar et les îles Malouines – pour l’instant. Alors que la Grande-Bretagne continue de s’éloigner de Dieu, ces deux portes leur seront également bientôt enlevées !