La tragédie de l’avortement

Cette semaine, le Congrès américain a débattu autour d’un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque celui-ci se fait en fonction du sexe de l’enfant.

Dans de nombreux pays autour du monde, les bébés filles sont plus souvent avortés que les garçons – une pratique en hausse au États-Unis (CNN.com, 31 mai 2012). Depuis que l’avortement a été légalisé aux États-Unis en 1973, plus de 50 millions de bébés ont été avortés – entre un quart et un tiers des bébés conçus aux États-Unis sont tués dans l’utérus. À travers le monde, davantage de bébés sont avortés.

Alors que les arguments en faveur de l’avortement légal sont basés sur le droit des femmes pour contrôler leur propre corps et les risques pour leur santé, les études montrent que la mort des enfants en gestation est principalement motivée par des préférences personnelles et par commodité (Wikipédia, “Abortion in the United States”).

C’est une des conséquences tragiques lorsqu’un peuple se détourne de Dieu et ignore Ses lois. Un des Dix Commandements est : « Tu ne tueras point » (Exode 20 :13). Lorsque les anciens Israélites se détournèrent de Dieu et offrirent leurs propres enfants en sacrifice à des idoles, le prophète Jérémie les mit en garde : « Vous m’avez tous été infidèles, dit l’Éternel […] Jusque sur les pans de ton habit se trouve le sang de pauvres innocents » (Jérémie 2 :4, 29, 34). Jérémie avertit les Israélites rebelles que Dieu « les livrerait pour être agités » et qu’Il ferait « tomber subitement sur [eux] l’angoisse et la frayeur » (Jérémie 15 :4, 8). Si l’Amérique ne se repent pas et continue de tuer des enfants en gestation – garçons et filles – le pays en ressentira de sérieuses conséquences !