La “pilule du lendemain” dans les écoles de New-York

Les écoles de New-York peuvent désormais délivrer des contraceptifs oraux et des « pilules du lendemain » aux étudiantes mineures dans les lycées (New York Post, 24 septembre 2012).

Sous prétexte d’éviter aux jeunes filles de manquer l’école, les infirmières scolaires distribuent ces médicaments aux filles ayant eu des « rapports non protégés », sans en avertir les parents. Ironiquement, ces mêmes écoles refusent de délivrer des antalgiques (comme le paracétamol). 7000 lycéennes sont tombées enceintes l’année dernière à New-York, et près de 4500 ont eu recours à l’avortement (ibid.).

Les détracteurs affirment que cela va « encourager » les étudiantes à continuer à avoir des rapports non protégés. Les programmes scolaires continuent de coller des rustines sur un problème bien plus grand – l’immoralité croissante et le manque de dirigeants qui se soucient réellement d’améliorer les conditions difficiles de ces adolescentes.

Jadis, Dieu avait donné un commandement plein de bonté, en recommandant de s’abstenir de l’immoralité sexuelle (Exode 20 :14 ; Actes 15 :20) afin d’éviter les maladies et les problèmes des nations alentour (Exode 15 :26). De nos jours, les gens rejettent les lois de Dieu pleines de bonté et ils poursuivent leurs désirs destructeurs. Heureusement, cela changera bientôt. Pour en apprendre davantage, lisez notre article intitulé La réalité du futur Royaume du Christ.