La mort des grands prédateurs et la destruction des écosystèmes

« Les trois-quarts des grands carnivores dans le monde – dont les lions, les loups et les ours – sont sur le déclin, annonce une nouvelle étude » (BBC, 9 janvier 2014).

« La majorité d’entre eux occupent à présent moins de la moitié de leurs anciens territoires selon les données publiées par la revue Science […] Les chercheurs déclarent que la perte de ces espèces pourrait être extrêmement dommageable pour les écosystèmes dans le monde […] Lorsqu’ils ont observé les loups et les couguars dans le parc national du Yellowstone aux États-Unis, ils ont constaté que le manque de grands prédateurs provoquait une hausse des populations d’animaux qui broutent comme les élans et les cerfs. Bien que cela puisse sembler être une bonne nouvelle, les chercheurs ont découvert que la hausse des populations de brouteurs était mauvaise pour la végétation et que cela créait des problèmes pour les oiseaux et les petits mammifères, provoquant des dommages en cascade. De tels effets s’observent partout à travers le monde » (BBC, 9 janvier 2014).

La création de Dieu est très résistante, mais elle repose aussi sur un équilibre fragile. Le Christ utilisa l’apôtre Jean pour nous avertir qu’un tiers des créatures marines serait détruit au son de la deuxième trompette (Apocalypse 8 :8-9).

Des centaines d’espèces ont déjà commencé à disparaître au cours des 500 dernières années (BiologicalDiversity.org). L’humanité n’a pas bien géré la planète, dont les plantes et les animaux, et les catastrophes écologiques sont nombreuses. La terre et même les créatures « soupirent », en attendant d’être délivrées de l’asservissement du monde corrompu des hommes (Romains 8 :19-22). Cette délivrance aura bientôt lieu avec le retour du Christ !

Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez notre article intitulé Comment la terre sera-t-elle restaurée ?