La Grande-Bretagne “réduit” ses relations avec l’UE

Dans un discours récent, le maire de Londres, Boris Johnson, a appelé la Grande-Bretagne à négocier une nouvelle « réduction » de ses relations avec l’Union européenne.

Il a déclaré que la Grande-Bretagne devait « rester dans le marché commun mais se détacher de l’union politique » et considérer la création de « “liens externes” à l’UE avec des pays comme la Norvège et la Suisse » (BBC News, 4 décembre 2012). Il continue : « Je ne comprends pas pourquoi nous pressons continuellement les pays de la zone euro à aller de l’avant avec cette union politique et fiscale, alors que nous savons dans nos cœurs que c’est antidémocratique et par conséquent, intellectuellement et moralement faux » (ibid.).

Après son discours, il observa que « l’euro est un “cauchemar” pour ses membres et il prédit : “Cela finira par exploser mais je ne me risquerais pas à parier quand” » (ibid.). M. Johnson souhaite que le peuple britannique ait l’opportunité d’obtenir un référendum pour décider de rester impliqué ou non dans l’UE, alors que celle-ci avance vers une union économique et politique. Il souhaite rester « ami » avec les nations de l’UE et avoir « une relation dans laquelle nous ne nous sentons pas mal à l’aise de ne pas partager toutes les doctrines de l’euro-religion » (ibid.).

Les prophéties bibliques annoncent depuis longtemps l’émergence de la puissance de la « bête », autour de dix nations conduites par l’Allemagne, qui s’élèvera en Europe juste avant le retour de Jésus-Christ (voir Daniel 2 et 7 ; Apocalypse 17). Les prophéties bibliques indiquent également que cette puissance européenne (conduite par l’Assyrie – l’Allemagne moderne) sera un adversaire des nations israélites – y compris la Grande-Bretagne (Osée 5 :5 ; 8 :11-14 ; 11-1-5). Pour en apprendre davantage sur les événements des temps de la fin, lisez notre brochure Les États-Unis et la Grande-Bretagne selon la prophétie.