Bruxelles ébranle la démocratie en Grande-Bretagne

Depuis quarante ans, la Grande-Bretagne a connu un « coup d’état au ralenti », pendant lequel le pouvoir a été transféré à Bruxelles.

Un référendum vient d’avoir lieu en Grande-Bretagne pour modifier le mode de scrutin à la Chambre des Communes. Dans ce référendum important, les électeurs ont massivement choisi de conserver le système existant. Les partisans du changement avaient mis en avant « un meilleur système démocratique ». Mais, selon le célèbre chroniqueur Christopher Booker, « cela n’affectait d’aucune manière la crise actuelle de nos institutions, qui ne sont plus qu’un semblant de démocratie dans la façon dont nous sommes gouvernés ».

Booker continue, avec ce triste commentaire sur l’état de la nation en Grande-Bretagne : « Depuis plus de 40 ans, nous avons vu se dérouler un grand coup d’état au ralenti, au cours duquel la plupart des lois qui régissent nos vies ne sont plus du tout décidées par les politiciens élus. Le pouvoir a été transféré vers une forme de législation étrange et difficilement compréhensible, centralisée à Bruxelles, mais avec des tentacules s’étirant jusque dans chaque recoin de notre propre bureaucratie » (Telegraph, 7 mai 2011).

Pendant des siècles, la Grande-Bretagne a administré les lieux-clés de la terre, car l’Éternel a tenu les promesses faites à Abraham dans le passé (Genèse 22 :17-18 ; Ésaïe 58 :14). Cependant, à cause de ses péchés nationaux, Dieu permet que la puissance de la Grande-Bretagne lui soit reprise et distribuée entre des nations et des peuples qui étaient ses ennemis – exactement comme la Bible l’avait prédit depuis longtemps (Deutéronome 28 :25, 32-33, 36, 45-48).