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50 ans après Mai 68, quel est l’impact de cette révolution culturelle sur la cellule familiale ? Ces changements sociétaux ont-ils amélioré ou dégradé le bien-être des citoyens ?
La révolution culturelle de Mai 68 fut une charnière entre « l’ancien monde » et la « modernité ». Ce mouvement social a façonné la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Il a apporté de nombreux changements sociétaux et les protagonistes de cette époque ont dominé la politique, les médias et le monde des affaires pendant plusieurs décennies.
Cependant, les « soixante-huitards » ont désormais soixante-huit ans ou plus ! La génération du baby-boom est devenue la génération du papy-boom. Leurs enfants (la génération X) et leurs petits-enfants (les milléniaux ou la génération Y) prennent désormais les rennes du pouvoir. Alors que les médias commémorent les 50 ans de cette révolte culturelle, la jeune génération n’hésite plus à remettre en question l’héritage de Mai 68 et certains changements apportés par ce mouvement font désormais l’objet de controverse. Quel est donc l’héritage de Mai 68 ? Et quel est l’impact de cette révolution culturelle sur la société du 21ème siècle ?
Les changements politiques, sociétaux et culturels apportés par ces révoltes étudiantes présentent un effet secondaire commun : la destruction de la cellule familiale. Mais s’agit-il réellement d’un effet secondaire, ou s’agit-il au contraire du point central de cette révolution culturelle ?
Le « Mai 68 » français ne fut pas un mouvement isolé. Cette révolte de la jeunesse française s’inscrivait dans un contexte insurrectionnel au sein du monde occidental. Cette même année, il y eut le « Printemps de Prague » en Tchécoslovaquie, les grandes émeutes américaines suite à l’assassinat de Martin Luther King, le « Lundi de la matraque » pendant lequel 290 manifestants furent arrêtés à Montréal, ainsi que de nombreux autres mouvement sociaux – dont le plus sanglant fut le « massacre de Tlatelolco », au Mexique, où plusieurs centaines de jeunes manifestants (au moins 300 selon les estimations) furent abattus par les forces de l’ordre.
Quelles furent les principales « avancées » de cette vague de révolte au cours de l’année 1968 ? Nous pourrions citer la prise du pouvoir intellectuel par une nouvelle génération, la défiance à l’égard du monde politique, la libération sexuelle, l’égalité entre les sexes, le déclin de la religion judéo-chrétienne, l’essor de la société de consommation, le rejet de l’autorité en général, ainsi qu’un rejet de la culture et des racines de la nation. Dans le même temps, ce mouvement marqua aussi le début d’un totalitarisme idéologique et les prémices du politiquement correct.
Bien entendu, il s’agit ici des grandes tendances qui s’imposèrent au fil du temps, car « dans le mouvement de 68 se mêlent une aspiration démocratique et un vertige messianique, une volonté libertaire et des comportements totalitaires, une incroyable modernité et un affligeant archaïsme, le besoin d’une générosité collective et l’affirmation d’un individualisme exacerbé » (Mai 68 raconté à ceux qui ne l’ont pas vécu, Patrick Rotman, éditions du Seuil, 2008, page 14). Cet auteur ajoute également que « Mai 68, ce ne sont pas dix semaines, mais dix ans qui ont changé la société française. 68 est l’épicentre d’une secousse sociale et culturelle qui a commencé au milieu des années soixante et s’est prolongée jusqu’au creux des années soixante-dix » (ibid., page 10).
Rapidement, ce mouvement gagna l’ensemble de la sphère politique. L’affrontement initial entre droite et gauche, républicains et socialistes, s’atténua au fil des ans pour aboutir à une cohabitation pacifique. « En 1981, ce fut un socialiste – François Mitterrand – qui se hissa à la tête de l’État [français] ; par la suite, il dut “cohabiter” un temps avec l’opposition, majoritaire à l’Assemblée nationale. On craignit une épreuve de force ; elle n’eut pas lieu » (L’ère du nucléaire, éditions Time-Life, page 56, traduction Paul et Christiane Duval).
Une certaine mouvance issue de Mai 68 s’est engagée dans l’écologie et la préservation de la planète, en s’opposant au nucléaire, en prônant la non-violence et en lançant des ONG comme Médecins sans frontières. Mais force est de reconnaître qu’il ne s’agit pas de la tendance « victorieuse » qui a dominé la scène politique et sociale au cours des décennies suivantes.
Au contraire, ces années-là ont engendré une société de consommation, basée sur l’immédiateté et la gratification instantanée. Petit à petit, il est devenu banal de posséder un appareil photo, une ligne téléphonique, un téléviseur, une console de jeux vidéo, un caméscope, un ordinateur, une connexion Internet, une tablette tactile – et finalement un téléphone portable qui regroupe toutes les fonctions précédentes.
Tous ces gadgets ont contribué à développer une culture de l’instantané et du « jetable » ; des choses sans valeur qui disparaissent dès que la mode est passée, aussitôt remplacée par une nouvelle tendance avec de nouveaux critères éphémères. Il faut du neuf. Il faut du changement. Il faut de la nouveauté. Les gens se lassent très vite de ce qu’ils possèdent et cela engendre un sentiment de frustration. Il faut vivre dans une évolution et un changement permanents. « Mais ne nous y trompons pas, ce n’est pas la technique qui transforme la société, c’est plutôt l’imaginaire d’une société qui permet à la technique de se développer dans telle ou telle direction » (L’Empire ludique, Aurélien Fouillet, éditions François Bourin, 2014, page 15).
Mais quel est le lien entre tout cela et la famille ? Dans son livre La France d’hier, Récit d’un monde adolescent des années 1950 à Mai 68, le sociologue Jean-Pierre Le Goff compare le monde « d’avant » avec celui « d’après » 1968. À la lecture de ce récit sociologique, il est frappant de constater à quel point le monde « d’avant » était marqué par la durabilité et le long terme, tandis que le monde « d’après » est basé sur l’instant présent et le court terme. Voici ce qu’il écrit au sujet du mariage dans les années 1950 : « Il ne fallait pas se tromper dans le choix du fiancé, prendre le temps de le connaître avant de se décider. Les fiançailles étaient faites pour cela et bien que leur rupture soit mal vécue, elles pouvaient permettre d’éviter quelques emballements sans lendemain et des “incompatibilités de caractères”. Une fois le mariage prononcé, il n’était pas religieusement et socialement convenable de rompre l’union » (éditions Stock, 2018, page 68).
À la vie, à la mort ! Le mariage était alors inconditionnel. Sauf circonstances exceptionnelles, le mariage était supposé se terminer à la mort d’un des deux conjoints. À cette époque-là, les gens ne jetaient pas, ils réparaient. Cela était vrai pour les objets, mais aussi pour les couples.
Certes, le mariage ne réglait pas tout. Il y avait des adultères, de la fornication et des enfants nés hors mariage, mais ce n’était pas la norme. Ces choses avaient lieu, mais elles n’étaient pas approuvées par la société.
« Divorces, unions libres, droit à la sexualité pour les jeunes, homosexualité revendiquée, libération de la parole et des images sur l’érotisme et la pornographie…, tous ces sujets ne sont plus considérés comme tabous dans les sociétés occidentales contemporaines […] Dans ces évolutions, les événements de mai 1968 en France ont joué le rôle de puissant catalyseur, en faisant sauter le couvercle d’un puritanisme et d’un ordre moral suranné » (“Mai 1968 et la libération des mœurs”, Sciences Humaines, n°193, mai 2008).
En 1970, le journaliste et sociologue Alvin Toffler dressa un portrait inquiétant, mais réaliste, de la nouvelle conception du mariage. Après avoir déclaré que l’éphémère et la nouveauté sont ligués contre le mariage, voici ce qu’il a écrit dans un chapitre intitulé de façon provocante « Le mariage temporaire » :
« À bien y regarder, quelque chose a déjà craqué – l’ancienne volonté de permanence. Des millions d’hommes et de femmes adoptent de nos jours une stratégie qui est à leurs yeux pleine de bon sens sans être révolutionnaire. Au lieu d’opter pour une variante excentrique de la famille, ils font un mariage conventionnel, s’efforcent de le faire “marcher”, puis, quand les chemins des deux partenaires divergent au point que la situation devient inacceptable, ils divorcent ou ils se séparent. La plupart se mettent en quête d’un nouveau compagnon dont le stade d’évolution soit, à ce moment-là, analogue au leur.
« À mesure que les relations entre les hommes deviennent de plus en plus éphémères et modulaires, la poursuite de l’amour prend un caractère de plus en plus fébrile, et c’est encore peu dire. Mais les perspectives temporelles changent. Le mariage conventionnel s’avérant de moins en moins apte à remplir sa promesse d’amour éternel, on peut prévoir que le mariage temporaire sera bientôt universellement accepté. Au lieu de se vouer “fidélité jusqu’à la fin de leurs jours”, les couples fonderont un foyer en sachant pertinemment dès le départ que selon toute vraisemblance leur rapport sera de courte durée […]
« Selon le professeur Jessie Bernard, sociologue de la famille qui jouit d’un renom mondial, “le mariage multiple est plus répandu chez nous aujourd’hui que dans les sociétés où la polygamie est admise, avec pour seule différence que nous l’avons consacré sous forme de série ou d’enchaînement de mariages et non sous celle d’un ensemble d’unions contemporaines” » (Le choc du futur, éditions Denoël, pages 245-246, traduction Sylvie Laroche et Solange Metzger).
Il s’agit ici d’une description de la situation en 1970 ! De nos jours, la France enregistre « 44 divorces pour 100 mariages » et « plus d’un quart des mariages sont des remariages pour au moins un des deux conjoints » (Insee Première, n°1599, juin 2016).
De plus, les « variantes excentriques » de la famille mentionnées par Alvin Toffler sont désormais en plein essor. Elles ne représentent encore qu’un faible pourcentage des unions, mais leur acceptation croissante dans la société fait qu’elles ne seront plus taboues pour la prochaine génération. Tout comme le « mariage temporaire » ou le concubinage sont devenus la norme pour la génération actuelle.
Les enfants sont les victimes innocentes de la destruction du mariage. Et malheureusement, une fois adultes, ils auront de fortes chances de reproduire dans leur propre vie le seul schéma familial et social qu’ils connaissent.
« En France, deux adultes sur trois vivent en couple. Mais le nombre de séparations et de familles monoparentales a explosé.
« Où en est la famille ? Des enfants vivant avec leurs deux parents mariés restent la situation dominante en France, mais les couples se fragilisent : ruptures plus fréquentes, succession des unions au fil des ans, tribus recomposées et bond de la monoparentalité […]
« Malgré la diversification des formes de vie de couple et de vie de famille, trois enfants sur quatre habitent avec leurs deux parents en France métropolitaine. Sur les quelque 7,8 millions de familles qui hébergent au moins un enfant mineur à la maison, 70% sont composées de deux parents, mariés ou non, avec le ou les enfants mineurs qu’ils ont eus ensemble » (“Le couple est de plus en plus fragile et cela pèse sur le revenu des femmes”, L’Express, 16 décembre 2015).
Ce dernier paragraphe considère « le verre à moitié plein » ! Mais en regardant « le verre à moitié vide », cela signifie qu’un enfant sur quatre n’habite pas avec ses deux parents – cela représente plus de 3 millions d’enfants de moins de 18 ans. Nous voyons aussi que 30% des familles hébergeant au moins un enfant mineur ne sont pas composées des deux parents biologiques – environ 2,3 millions de familles concernées.
« Les unions sont de plus en plus fragiles, comme en témoigne le bond des familles monoparentales. “C’est le type de famille qui s’est le plus développé au détriment des familles traditionnelles” […] Les familles monoparentales représentaient 16% des familles avec enfants mineurs en 1999 et 20% en 2011. La part de ces familles monoparentales a également augmenté en Europe : 14% en 1996, contre 19% en 2012.
« Particulièrement touchées par la précarité, 40% des familles monoparentales avec enfants mineurs vivent sous le seuil de pauvreté.
« La monoparentalité reste essentiellement maternelle (85%) et s’est surtout répandue parmi les femmes les moins diplômées. En cas de divorce ou séparation, la résidence des enfants chez la mère (75% des cas en 2012) reste bien plus fréquente que la résidence alternée (16%) ou chez le père (7%).
« Conséquence : le niveau de vie des femmes recule de 20% l’année suivant la rupture… » (ibid.).
Quelle « modernité » y a-t-il dans ces familles brisées, cette pauvreté et ces situations difficiles pour les enfants ? Quelles avancées positives Mai 68 a-t-il apportées ? Un des slogans de cette génération était « Peace and Love » (“Paix et Amour”), mais quelle paix et quel amour reçoivent les enfants vivant dans des familles séparées et déchirées ?
L’historien Will Durant, auteur d’une œuvre monumentale en 32 tomes, L’Histoire de la civilisation, fit le parallèle entre le déclin des empires et le déclin de la morale, notamment la destruction du mariage et de la famille. Il nota également que les périodes d’après guerre et les crises économiques furent souvent associées au relâchement des mœurs, dans l’Antiquité comme après la Deuxième Guerre mondiale.
Will Durant a écrit qu’au début de l’Empire romain, les hommes se mariaient « dans l’intention raisonnable d’avoir une compagne, des enfants utiles et une vie sexuelle saine […] Le divorce était difficile et rare si le mariage s’était conclu par confarreatio [mariage religieux conclu entre patriciens] » (Histoire de la civilisation, volume 7, pages 126-127, traduction Jacques Marty). Dans les autres formes de contrat de mariage, le divorce était plus facile, mais il se limitait essentiellement aux cas d’adultère et de stérilité (ibid., page 128).
Plus tard, après une période intense de guerre, « les mœurs, déjà relâchées auparavant par l’enrichissement et le luxe, n’avaient pas gagné à mesure que l’économie versait dans le chaos […] Rome était remplie de gens désormais privés de leurs ressources matérielles et tombés, du même coup, dans l’instabilité morale : soldats qui avaient pris goût aux aventures […] femmes follement enivrées d’indépendance à outrance, coutumières du divorce, de l’avortement, de l’adultère. La stérilité sévissait de plus en plus, au gré d’une vitalité déclinante ; par des sophismes superficiels, on allait jusqu’à se flatter d’en pratiquer le pessimisme et le cynisme » (ibid., volume 8, pages 13-14). Et Durant d’ajouter au sujet de cette période : « On croirait lire une description des grandes villes d’Europe ou d’Amérique après les guerres mondiales » (Les Leçons de l’Histoire, pages 59-60, traduction Laurent Jospin et François Vaudou).
Sommes-nous forcés de répéter les erreurs du passé ? En parlant de l’expérience négative de l’ancien Israël, l’apôtre Paul écrivit : « Or, ces choses sont arrivées pour nous servir d’exemples, afin que nous n’ayons pas de mauvais désirs, comme ils en ont eu […] Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles » (1 Corinthiens 10 :6, 11).
Allez-vous répéter les erreurs du passé ? Allez-vous succomber aux influences néfastes de Mai 68 ? Ou bien souhaitez-vous apprendre les leçons du passé et appliquer des « recettes qui fonctionnent » afin d’avoir une famille heureuse et stable dans ce monde en ruine ?
Dans leur ouvrage commun, Will Durant et son épouse Ariel ont écrit : « Jusqu’à nos jours, il n’y a pas eu, dans l’histoire, d’exemple notable d’une société parvenue à maintenir la moralité sans le secours de la religion » (Les Leçons de l’Histoire, page 80).
Afin de découvrir comment avoir un mariage durable, demandez notre brochure gratuite intitulée Le plan divin pour un mariage heureux. Dans cet ouvrage, M. Meredith explique, preuves bibliques à l’appui, quel est le mystère du mariage (cf. Éphésiens 5 :22-33) dans le plan de Dieu, pour Son Église et pour l’humanité, car le mariage est non seulement une institution physique, mais aussi une préparation pour la vie éternelle à venir. Nos enfants sont appelés à devenir enfants de Dieu. Quant aux rôles du mari et de la femme, ils nous révèlent une grande leçon spirituelle. Sept « clés » vous permettant de réussir votre mariage sont également révélées dans cette brochure :
Dieu nous a créés et Il a créé l’institution du mariage. Il sait mieux que quiconque comment fonctionnent le corps et l’esprit. Dieu n’a pas créé les hommes inférieurs aux femmes, ni les femmes inférieures aux hommes. Dieu a créé les hommes et les femmes de façon différente, afin qu’ensemble ils deviennent « un » au sein du mariage. Après avoir créé Adam, le premier homme, Dieu déclara : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui » (Genèse 2 :18).
Il y a environ 2000 ans, lorsque les pharisiens demandèrent à Jésus s’il était permis de répudier son épouse, Il leur répondit : « N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint » (Matthieu 19 :4-6).
Alors que les pharisiens insistaient au sujet du divorce, Jésus ajouta : « C’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; au commencement, il n’en était pas ainsi. Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère » (verset 8-9).
Le mariage selon Dieu dure aussi longtemps que les deux époux sont en vie. Au commencement, il était prévu que seule la mort brise cette union. Et puisque « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux 13 :8), nous avons la certitude qu’Il a toujours la même vision du mariage qu’il y a 2000 ans lorsqu’Il répondit aux pharisiens.
En décrivant notre société, Blaise Pascal avait écrit que « le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin. Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre, et nous disposant toujours à être heureux il est inévitable que nous ne le soyons jamais » (Pensées, éditions du Seuil, 1962, page 48).
Le fait de vivre dans une course perpétuelle vers une supposée « amélioration » de nos conditions de vie conduit inévitablement à la culture de la frustration que nous connaissons. Par contre, à travers les exemples du passé et grâce aux instructions disponibles de nos jours, Dieu nous donne les moyens d’être heureux. Si nous suivons Ses lois et Ses commandements, nous connaîtrons inévitablement le bonheur, aujourd’hui et à l’avenir.
Pour en apprendre davantage au sujet du mariage et de la famille, lisez nos brochures Le plan divin pour un mariage heureux et Principes éternels pour l’éducation des enfants.
Il est possible d’avoir un mariage heureux et durable, même dans ce monde troublé, mais vous devez faire un choix. En obéissant aux lois divines concernant le mariage et la famille, vous serez capable de résister aux tentations de notre époque et de procurer le bonheur au sein de votre famille.