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« Après plusieurs jours de débats intenses et de lobbying, les délégués d’Amnesty International ont voté ce mardi en faveur d’une politique appelant à la dépénalisation du commerce sexuel, dont la prostitution et les maisons closes […] Après deux années de recherche et après avoir consulté ses membres, Amnesty conclut que la dépénalisation est le meilleur moyen de réduire les risques pour les prostituées […] “Les travailleurs du sexe sont souvent des groupes marginalisés dans le monde qui doivent faire face à un risque constant de discriminations, de violences et d’abus” » (New York Times, 11 août 2015).
Cependant, la ministre suédoise des Affaires étrangères, Margot Wallstrom, a commenté : « Ils mélangent tous les arguments et cela me tracasse […] C’est un mythe de dire qu’il existe des prostituées heureuses qui choisissent librement ce mode de vie » (ibid.). Beaucoup de gens voient dans cette politique une volonté de protéger les proxénètes qui exploitent des femmes, souvent kidnappées, pour les forcer à travailler sur le marché du sexe.
La Bible définit clairement la prostitution comme étant un péché (Exode 20 :14 ; Lévitique 19 :29 ; 20 :10 ; 21 :9 ; Apocalypse 21 :8) ! Il est frappant de voir qu’une organisation longtemps opposée au commerce sexuel lui trouve à présent des excuses. Ce volte-face est symptomatique des prophéties annoncées par Dieu pour la fin de cette ère : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres… » (Ésaïe 5 :20). Il est vraiment triste que des organisations protégeant les victimes se rangent désormais du côté des exploiteurs. Pour en apprendre davantage, lisez notre brochure Les Dix Commandements.