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L’article 5 du Traité de l’Atlantique Nord déclare « qu’une attaque armée contre l’une ou plusieurs d’entre elles [nations membres de l’OTAN] survenant en Europe ou en Amérique du Nord sera considérée comme une attaque dirigée contre toutes les parties » (Le Traité de l’Atlantique Nord, site officiel de l’OTAN).
Cependant, « plus de la moitié des Allemands, des Italiens et des Français sont opposés à l’utilisation de la force militaire pour aider un allié de l’OTAN en cas de conflit avec la Russie, d’après un sondage publié par le think tank américain Pew ce mercredi (10 juin). En Allemagne 58% ont déclaré que leur pays ne devrait pas être impliqué dans un conflit potentiel entre la Russie et un voisin membre de l’OTAN, montrant l’érosion de la solidarité sur laquelle était bâtie cette alliance […] Mais une grande majorité des gens en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne et en Grande-Bretagne pensent que les États-Unis feraient usage de la force contre la Russie même si leurs propres États n’étaient pas d’accord, montrant ainsi la perception européenne de la défense américaine » (EU Observer, 10 juin 2015).
Bien entendu, les États-Unis à eux seuls ne peuvent pas soutenir les actions de l’OTAN et l’avenir de cette organisation serait donc compromis si elle s’alignait sur l’avis des citoyens de la plupart de ses États-membres.
Les prophéties bibliques révèlent qu’une puissante force européenne appelée la « bête » ou le « roi du Nord » (excluant les nations de souche israélite) sera la prochaine superpuissance mondiale pour un peu de temps, à l’approche de la fin de cette ère (Daniel 11 :40-43). Cette bête deviendra la puissance politique et militaire qui dominera l’Europe et remplacera probablement l’OTAN. Pour en apprendre davantage au sujet de cette nouvelle puissance européenne à venir, lisez notre brochure La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?