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« L’expérience européenne » semble toucher à sa fin, au moins dans sa forme actuelle. Avec les troubles fiscaux au Sud, la Banque centrale européenne vient de publier son programme d’assouplissement quantitatif, en excluant la Grèce à cause de son risque de défaut trop élevé (Stratfor, 27 janvier 2015).
Entre les problèmes financiers croissants, les menaces et les craintes liées au terrorisme islamique, ainsi que la hausse du nationalisme, quelques spécialistes ont fait remarquer que « des mouvements s’opposant à l’Union européenne et à ses politiques se sont fortement développés dans presque chaque pays d’Europe […] Maintenant, la question n’est plus de savoir si l’Europe va pouvoir conserver sa forme actuelle, mais à quel point celle-ci va changer. Et la question la plus effrayante est de savoir si l’Europe, qui est incapable de maintenir son union, verra un retour du nationalisme et de ses conséquences » (Stratfor, 27 janvier 2015).
Cette Œuvre de Dieu comprend depuis des décennies, à travers la Bible, qu’il existera à la fin des temps une configuration de nations et de royaumes en Europe qui formera une « bête » politico-religieuse. Ce groupe de nations triées sur le volet soutiendra la « bête » et comprendra « dix rois » qui « reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête » (Apocalypse 17 :12-13). Pendant des années, nous avons averti que les 28 États-membres de l’Union européenne se fragmenteraient. À partir de ces pièces, il s’élèvera finalement, une « bête » plus petite, plus unie et plus focalisée qui sera conduite spirituellement par l’Église catholique – la « femme assise sur une bête écarlate » (versets 3-5, 18). Pour en apprendre davantage à ce sujet, assurez-vous d’avoir lu notre brochure La bête de l’Apocalypse.