“L’effet François” – La puissance de la personnalité du pape

« Le PAPE FRANÇOIS a instigué une recrudescence de l’assistance et des confessions dans l’Église catholique romaine, inversant la tendance au déclin » (Sunday Times, 17 novembre 2013).

« Depuis qu’il a été choisi, il y a huit mois, les cathédrales en Grande-Bretagne connaissent une hausse d’environ 20% dans les congrégations, comprenant à la fois des nouveaux membres et des revenants […]L’assistance pour les messes hebdomadaires du pape [à Rome] est montée à 85.000 personnes le mois dernier, contre 5000 pour son prédécesseur, Benoît XVI […] En moins d’une année, un homme semble avoir enrayé le déclin. Les responsables catholiques, qui semblaient s’être résignés à une “Église plus petite et plus pure”, parlent maintenant d’un “rebond papal” […] Pendant les 18 années où il fut évêque puis archevêque à Buenos Aires, Jorge Bergoglio était impitoyable dans son radicalisme » et il a apporté ce radicalisme au Vatican (Sunday Times, 17 novembre 2013).

Certainsont décrit la vague de changements apportés par ce pape comme « l’étape la plus importante de l’histoire de l’Église au cours des 10 derniers siècles ». Un cardinal fait remarquer que « quatre années de François […] seraient suffisantes pour tout changer » (ibid.).

Les prophéties bibliques ont annoncé depuis longtemps l’apparition d’une grande Église des temps de la fin (Apocalypse 13 :11-17 ; Apocalypse 17). Ce dirigeant charismatique et dynamique, ainsi que le système qu’il représente, « prononcera des paroles contre le Très-Haut […] et il espérera changer les temps et la loi » pendant 3 ans et demi avant le retour du Christ (Daniel 7 :25 ; Apocalypse 13 :5). Nous ne savons pas encore si le pape François sera ou non ce personnage des temps de la fin. Mais son style de « rock star » et son effet sur l’Église créent un précédent notable. Pour en apprendre davantage sur ce sujet intriguant, lisez notre brochure La bête de l’Apocalypse.