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Depuis sa prise de fonctions, les commentaires du pape François sur la tradition et la doctrine ont énervé les catholiques conservateurs.
Dans une interview du mois de juillet, le pape fut interrogé sur l’homosexualité des prêtres. Il répondit « Qui suis-je pour juger ? » Sur les questions de l’avortement, de l’homosexualité et de la contraception, le pape a déclaré qu’il y a « une différence entre le dogme et les enseignements moraux de l’Église. Le ministère de l’Église ne peut pas être obsédé avec la transmission d’une multitude de doctrines incohérentes imposées avec insistance […] l’Église a le droit d’exprimer ses opinions mais pas “d’interférer spirituellement” dans la vie des gays et des lesbiennes, en revenant sur une [précédente] déclaration explosive […] appelant à ne pas juger les homosexuels. » De nombreuses personnes pensent que les déclarations du pape sur les questions morales menacent l’Église (New York Post, 19 septembre 2013).
Les Écritures révèlent qu’aux temps de la fin, un grand personnage religieux arrivera sur le devant de la scène et « il espérera changer les temps et la loi » (Daniel 7 :25). Cet « homme impie » ou ce « fils de la perdition » s’opposera et s’élèvera « au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore » – tout en gardant un semblant d’obéissance biblique (2 Thessaloniciens 2 :3-10). Cet « homme impie » chevauchera la puissance de la bête européenne et il sera un instrument pour faire revenir les « Églises filles » au sein de l’Église mère (voir Apocalypse 17). Pour en apprendre sur cette figure religieuse de la fin des temps et sur la puissance de la bête à venir, lisez notre brochure gratuite La bête de l’Apocalypse.