Gibraltar : à couteaux tirés

Les tensions montent entre Gibraltar, l’Espagne et la Grande-Bretagne sur l’avenir de ce morceau de terre très important.

La Grande-Bretagne contrôle Gibraltar depuis 300 ans, avec le traité d’Utrecht signé en 1713 et plus récemment, en 2002, les habitants de Gibraltar ont refusé de retourner sous domination espagnole. Cependant, l’Espagne vient de commencer à fouiller toutes les voitures quittant Gibraltar, causant des embouteillages de 6 heures et limitant les mouvements des nombreux citoyens espagnols qui vivent et/ou travaillent à Gibraltar. Le Premier ministre espagnol a également menacé de fermer l’espace aérien et d’imposer une taxe de 50€ pour entrer ou sortir de la péninsule en voiture – une décision qui mettrait à mal la libre circulation au sein de l’UE (Le Figaro, 5 août 2013). En parlant des menaces espagnoles, le chef du gouvernement de Gibraltar a jugé qu’il s’agissait de « déclarations que l’on pourrait attendre de la Corée du Nord plutôt que de la part d’un partenaire européen » (France Info, 6 août 2013).

Les prophéties bibliques ont averti depuis longtemps que les relations entre les nations de la puissance de la bête seront faites « de fer et d’argile » (Daniel 2 :41-44). Les prophéties indiquent aussi que les nations de souche israélite, comme la Grande-Bretagne, ne feront pas partie de la puissance finale de la bête, mais que celle-ci les emmènera en captivité (Ésaïe 5 :9, 13-15 ; Jérémie 30 :3-15) !

Dieu avait promis aux descendants d’Abraham et de Jacob qu’ils posséderaient les « portes de leurs ennemis » s’ils obéissent (Genèse 22 :17 ; 24 :60), mais que ces portes leur seraient retirées s’ils désobéissent (Deutéronome 28 :47-57). Gibraltar est l’une des deux dernières portes encore entre les mains des nations israélites, mais peut-être plus pour longtemps ! Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez notre article Les portes maritimes en péril !