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Autrefois un mets raffiné en Grande-Bretagne, les crevettes sont maintenant un produit bon marché et trouvable partout. Bien que cette forte demande soit bénéfique pour les producteurs thaïlandais, les techniques pour produire la « nourriture » qui va alimenter ces mollusques ravagent l’environnement (Sunday Times, 24 février 2013). La collecte des « poissons de rebut » utilise des filets à petites mailles qui raclent le fond de l’océan et capturent tout sur leur passage, « les crabes, les raies, les tortues, certaines espèces de requins et les poissons juvéniles. Le produit de cette pêche est ensuite remonté à la surface et incinéré dans une série de fours pour le transformer en poudre qui servira à nourrir les crevettes dans des exploitations géantes. Cette technique non sélective empêche de nombreux poissons d’atteindre l’âge adulte et la vie marine est réduite à néant dans des portions complètes de l’océan » (ibid.).
Jadis Dieu avait ordonné à l’humanité d’être sage, de « cultiver » et de « garder » la terre (Genèse 2 :15). Dieu ordonna aussi aux êtres humains de ne pas consommer de mollusques et de coquillages, mais de les épargner pour des raisons de santé et pour préserver les écosystèmes des océans (Lévitique 11 et Deutéronome 14). La cupidité de l’humanité et son peu d’intérêt à préserver la terre conduisent à la destruction des écosystèmes, à l’extinction des espèces et à l’augmentation de la pollution dans les océans. Le simple fait de respecter les lois de la santé sur les aliments « purs et impurs » et de prendre soin de l’environnement aurait un impact immense sur la protection de la création de Dieu et sur la santé humaine.
Ces deux aspects seront enseignés dans le Royaume de Dieu à venir (Actes 3 :19-21). Pour savoir pourquoi Dieu interdit de manger des coquillages et des mollusques, lisez notre article Ne mangez pas les éboueurs de la planète.