L’avenir de l’Égypte et de l’Europe

Lors d’une récente visite à Bruxelles, le président égyptien nouvellement élu, Mohamed Morsi, s’est engagé à soutenir les valeurs démocratiques, les libertés individuelles et à protéger les ambassades étrangères en Égypte.

En retour, l’UE a accordé plus d’un milliard d’euros d’aide à l’Égypte. Le président de l’Union, Herman Van Rompuy, a également promis que « l’Union européenne se tiendra aux côté de l’Égypte “comme un ami, un voisin et un partenaire” » (Middle East Online, 13 septembre 2012).

« L’avenir de l’Égypte est essentiel aux yeux de Bruxelles qui essaie de renforcer ses liens économiques avec les nations du printemps arabe et de consolider en coulisses les démocraties émergentes dans l’intérêt de la sécurité européenne » (ibid.).

Alors que les États-Unis cherchent une « porte de sortie » au Moyen-Orient, l’Europe y renforce ses liens – comme la Bible l’avait prédit. Les Écritures déclarent qu’à la fin de cette ère, une puissance européenne conclura un traité concernant Jérusalem pour une semaine prophétique (soit sept ans – voir Daniel 9 :27). Ce traité impliquera l’Allemagne (l’Assyrie) et plusieurs nations du Moyen-Orient (Psaume 83 :5-8 ; Ézéchiel 23 :22-23). Finalement, ce traité sera brisé après seulement trois ans et demi.

Selon les prophéties bibliques, le roi du Nord et le roi du Sud se tourneront l’un contre l’autre, ce qui conduira la puissance de la bête européenne (le roi du Nord) à envahir le roi du Sud, y compris l’Égypte (Daniel 11 :40-43). Le développement des relations entre l’Europe et l’Égypte pourrait préparer le terrain pour l’accomplissement de ces anciennes prophéties.