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Il y a deux semaines, les nations des BRICS comprenant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud (South Africa, en anglais) ont tenu leur réunion annuelle à New Dehli.
Les observateurs notent que « rien de convainquant » n’est ressorti de ces réunions. D’autres se demandent quels peuvent être les effets à venir de cette alliance entre des nations représentant près de la moitié de la population mondiale. Une des résolutions prises est « d’aller de l’avant pour créer un fond de développement “sud-sud” qui pourrait à terme rivaliser avec la Banque mondiale et la Banque asiatique de développement ». Ils ont également convenu d’agir pour accroître la représentativité du vote des pays en développement au FMI, et pour s’opposer à l’intervention militaire de l’Occident en Iran (Guardian.co.uk, 29 mars 2012).
La création d’un « fond de développement » est intéressante car la Russie, la Chine et l’Inde ont déjà des liens militaires et ils effectuent des exercices militaires communs chaque année. Bien que les BRICS ne soient pas des pays amis, des actions économiques communes pourraient rapprocher ces nations.
Les prophéties bibliques révèlent que vers la fin de la « Grande Tribulation » à venir, une grande armée venant du nord et de l’est de Jérusalem viendra « effrayer » la puissance de la bête européenne, qui envahira le roi du Sud (Daniel 11 :44-45). Cette armée de 200 millions d’hommes détruira même un tiers de l’humanité (Apocalypse 9 :13-19 ; 16 :12-16). Ces « rois de l’Est » émergeront probablement d’alliances entre des pays à forte population. Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez notre article intitulé Harmaguédon et après.