La Chine sur le point d’acheter des infrastructures européennes

Avec l’effondrement des valeurs foncières en Europe, la Chine observe les infrastructures qu’elle pourrait acheter à l’avenir.

Bien que les nations européennes soient réfractaires à l’idée de vendre leurs infrastructures à la Chine (par exemple, des voies ferrées, des centrales électriques ou des usines), les investisseurs chinois attendent patiemment que les prix « touchent le fond ».

Cette semaine, le ministre du Commerce chinois a fait la déclaration suivante : « L’année prochaine, nous enverrons une délégation pour promouvoir le commerce et les investissements avec les pays européens… Certains pays européens font face à la crise de la dette et nous espérons convertir leurs actifs en cash, et nous aimerions voir des capitaux étrangers acheter leurs entreprises. Nous observerons et nous appuierons ce processus de près. » Les réticences européennes à vendre des actifs à des entités non-européennes a le don d’agacer les investisseurs chinois. Ainsi, la Chine montre la Grande-Bretagne en exemple – « une des économies les plus ouvertes dans le monde » – comme une nation qui a accueilli des investissements chinois dans le projet de construction d’un chemin de fer traversant la Grande-Bretagne du nord au sud (EUObserver.com, 28 novembre 2011).

Les prophéties bibliques n’indiquent pas spécifiquement que la Chine achètera des infrastructures européennes, mais Dieu avait averti l’ancien Israël (et ses descendants actuels) que pour L’avoir rejeté, une nation venant « de loin », « au visage farouche » et « dont tu ne comprendras point la langue » leur prêterait de l’argent et consumerait leurs biens (Deutéronome 28 :43-44, 45-51). Beaucoup de nations européennes descendent des anciennes tribus d’Israël. Quelles nations seront les premières à vendre leurs infrastructures ?

Pour en apprendre davantage sur ce sujet fascinant, lisez notre brochure intitulée Les États-Unis et la Grande-Bretagne selon la prophétie.