L’Europe sur des sables mouvants

La crise en Europe conduira finalement à des changements radicaux du paysage politique européen.

La crise en Europe a généré une myriade d’idées sur son issue. Certains proposent une très longue période de gestion de crise. D’autres y voient la mise en place discrète d’une Europe à deux vitesses (The Economist, 10 novembre 2011). Certains pensent que l’Allemagne devrait quitter l’Europe en emportant ses amis avec elle (The Telegraph, 16 novembre 2011), alors que d’autres appellent à une nouvelle Europe (Reuters, 9 novembre 2011). Et il y a ceux qui pensent que l’Union européenne peut être sauvée en prenant simplement des décisions « fermes ».

L’analyste géopolitique George Friedman a récemment publié un article dans lequel il insinue qu’une Europe à sens unique pourrait sortir de la crise de la dette, à travers l’émergence d’une « nouvelle force politique […] qui modifierait complètement le paysage politique européen » (Stratfor, 15 novembre 2011). Une autre constatation, largement répandue, est que cette crise aboutira finalement à une « réduction » du nombre des pays (moins que les dix-sept membres actuels de la zone euro) ; et que l’Allemagne sera à leur tête. Les prophéties bibliques ont annoncé cette issue depuis longtemps.

L’apôtre Jean avait prédit la montée de la puissance d’une bête européenne qui serait finalement constituée de dix royaumes qui remettront volontairement leur autorité à un gouvernement central dirigé par un individu charismatique (Apocalypse 17 :12-16). Cette bête sera influencée par une « église-mère » universelle (versets 1-5) qui ordonnera directement aux gens d’adorer la bête (Apocalypse 13 :11-15). Ce qui se passe actuellement en Europe conduira finalement à des changements radicaux du paysage politique européen, exactement comme la Bible l’avait prédit. Pour en savoir davantage à ce sujet, lisez notre brochure intitulée La bête de l’Apocalypse.