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Depuis quelques mois, le monde a les yeux rivés sur le Vatican depuis la renonciation du pape Benoît XVI et la prise de fonction du pape François, le premier pape jésuite dans la longue et riche histoire de l’Église catholique romaine. Les catholiques pieux – ainsi que des millions de croyants et de non-catholiques – sont fascinés par le faste, les cérémonies, la richesse et les traditions bien ancrées de cette ancienne Église.
Ces dernières décennies, le clergé a terni et endommagé l’apparence externe de l’Église catholique. De nombreuses personnes attendent que le nouveau pape, réputé pour être véritablement humble, lance des réformes. Certains poussent, entre autre, à l’acceptation du mariage homosexuel et à l’entrée des femmes dans le clergé.
En parlant de femmes, le Nouveau Testament mentionne deux femmes, symbolisant deux Églises. Dans le livre de l’Apocalypse, l’apôtre Jean décrit sa vision : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. Je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement. L’ange me dit : Pourquoi t’étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes » (Apocalypse 17 :3-7).
La description de cette femme, représentant une grande fausse Église, semble correspondre à une image familière.
Jésus instruisit Ses disciples : « N’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux » (Matthieu 23 :9). Il est intéressant de noter que certaines Églises utilisent le titre de « père » pour désigner leurs prêtres. Jésus dit aussi à Ses disciples : « Mais moi, je vous dis de ne jurer aucunement » (Matthieu 5 :34). Cependant, lorsque le collège des cardinaux entre en conclave pour élire un nouveau pape, ses membres commencent par jurer de garder le secret, violant ainsi les instructions du Christ.
François conduit une Église puissante qui possède une grande force religieuse et politique, depuis des siècles, sur la scène mondiale. Au contraire, Jésus appelle Son Église le « petit troupeau » (Luc 12 :32). Nous trouvons une autre différence avec les dernières cérémonies papales en observant l’exemple de Jésus Lui-même ; au lieu de Se présenter avec faste et opulence lorsqu’Il vint proclamer le Royaume de Son Père, Il montra un exemple de profonde humilité en entrant dans Jérusalem sur le dos d’une ânesse.
Les Écritures montrent clairement qu’aux temps de la fin, il y aura une « femme vêtue de pourpre et d’écarlate » – une grande fausse Église. Une telle Église ne peut pas être celle bâtie par Jésus. Mais il existe aussi une autre « femme » – une petite Église, persécutée, qui obéit fidèlement aux commandements de Dieu et qui annonce Son Royaume à venir.
Bien que cette Église soit relativement petite, Jésus déclara clairement qu’elle ne disparaîtrait pas : « Je bâtirai mon Église, et […] les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » (Matthieu 16 :18). Ainsi, il existe quelque part un « petit troupeau » qui s’accroche aux doctrines et aux pratiques de l’Église de Dieu originelle.
La Bible décrit cette véritable Église comme « une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête » (Apocalypse 12 :1). Cette « femme » persécutée cherchera refuge : « Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu’elle s’envole au désert, vers son lieu… » (Apocalypse 12 : 14). Il est ensuite fait mention du reste fidèle de cette Église : « Et la femme s’enfuit dans le désert, où elle avait un lieu préparé par Dieu » (Apocalypse 12 :6).
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