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L’intégration européenne va-t-elle faire évoluer les systèmes politiques existants ? Se dirige-t-on vers une Europe fédérale ? Pouvons-nous savoir quel système politique dirigera la France, la Belgique et la Suisse dans les années à venir ?
Chaque année, en été, la France, la Belgique et la Suisse célèbrent leur fête nationale respective. Ces commémorations ont en commun de célébrer l’unité nationale au travers d’un événement fondateur de la nation. Quelle est l’origine de ces célébrations ?
Après plusieurs siècles de monarchie absolue, la France a connu une grande instabilité au 18ème siècle, avec deux républiques, deux empires et trois monarchies constitutionnelles. En pleine révolution, la prise de la Bastille fut un des événements provoquant la fin de la royauté.
Toutefois, le choix du 14 juillet 1789 ne fit pas l’unanimité sur les bancs du Sénat à cause de son caractère violent. Un compromis s’avéra nécessaire : « Ce 14 juillet qui vit prendre la Bastille, fut suivi d’un autre 14 juillet, celui de 1790 […] Cette seconde journée du 14 juillet [c.-à-d. la Fête de la Fédération] n’a coûté ni une goutte de sang ni une larme » (rapport de séance du Sénat, 29 juin 1880). Par souci de compromis, les élus français restèrent dans le flou quant à l’événement réellement célébré et afin d’éviter toute polémique, la loi promulguée le 6 juillet 1880 déclare que « la République adopte le 14 juillet comme jour de fête nationale annuelle », sans plus de précisions.
En Belgique, la fête nationale a lieu quelques jours plus tard, le 21 juillet, et elle commémore le serment prêté en 1831 par le premier roi des Belges, Léopold Ier. Jusqu’en 1830, la Belgique était constituée de régions, de provinces ou de principautés. « Parler de Belgique avant cette date constitue donc un anachronisme […] L’entité qui naît de la révolution de 1830 ne présente ni unité géographique ni unité linguistique. Elle est le produit des vicissitudes de l’histoire » (Histoire de la Belgique, Marie-Thérèse Bitsch, page 11, éditions Complexe).
De son côté, la Suisse a pris son indépendance en 1815 après la chute de Napoléon et elle devint un État fédéral en 1848 au terme d’une guerre civile éclair en novembre 1847. En 1891, la fête nationale fut fixée au 1er août. Celle-ci n’est pas le fruit d’une révolution, mais la commémoration du 600ème anniversaire du Pacte fédéral suisse de 1291 signé par les représentants des cantons primitifs.
Ces fêtes nationales sont toutes basées sur des événements symboliques et fondateurs, mais ces trois pays possèdent des systèmes politiques distincts.
La France est une république à régime présidentiel, où les citoyens élisent démocratiquement leurs représentants (démocratie indirecte) – après avoir élu leurs dirigeants, les électeurs n’ont plus de moyen de contrôle législatif sur eux pendant la durée de leur mandat, même si les manifestations et les grèves peuvent pousser un gouvernement à démissionner.
La Belgique est une monarchie constitutionnelle à régime parlementaire. Le dirigeant exécutif du pays n’est pas le roi, mais son Premier ministre. Dans les faits, tous les actes du roi doivent être contresignés par un ministre pour entrer en application et ses actions sont indirectement contrôlées par le Parlement.
La Suisse est une démocratie semi-directe. Les citoyens élisent des représentants chargés d’établir des lois, mais ils sont également appelés à voter plusieurs fois par année pour accepter ou refuser les propositions de loi lors des « votations ». Ils ont aussi la possibilité de demander la révision de la constitution au moyen des initiatives populaires (Constitution fédérale, articles 138 et 139).
Malgré leurs différences, ces trois systèmes politiques ont en commun le fait que les dirigeants sont choisis par le peuple pour une durée définie, généralement de 4 ou 5 ans.
Vous serez peut-être surpris d’apprendre que la Bible apporte des réponses à cette question. Et vous serez peut-être surpris une seconde fois en lisant la précision des réponses apportées.
Dans Daniel 2, le roi de Babylone, Nebucadnetsar, vit une grande statue pendant son sommeil et Dieu révéla l’explication de ce songe au prophète Daniel. Cette statue représentait une succession d’empires, de la tête jusqu’aux orteils : « Ô roi […] c’est toi qui es la tête d’or. Après toi, il s’élèvera un autre royaume, moindre que le tien ; puis un troisième royaume […] il y aura un quatrième royaume » (versets 37-40). De nos jours, nous arrivons à la fin de cette succession de royaumes. Les pieds « en partie d’argile et en partie de fer » représentent l’Union européenne actuelle, mais « ce royaume sera divisé ». Ses dirigeants « se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l’un à l’autre » (verset 43). La dernière formation politique de l’Union européenne (les dix orteils) est sur le point d’apparaître sur la scène mondiale. Si vous n’êtes pas familier avec cette prophétie, lisez sans tarder notre article intitulé « Le fer et l’argile » (Le Monde de Demain, février-mars 2012).
Qu’arrivera-t-il ensuite ? Le prophète Daniel continue : « Le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et qui […] subsistera éternellement » (verset 44). L’accomplissement de cet événement est décrit dans le livre de l’Apocalypse : « Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15) et le Christ aura « sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19 :16).
Voici nos premiers éléments de réponse ! Après le retour du Christ, le prochain système politique sera une monarchie, dont Jésus Lui-même sera le Roi. Cette monarchie sera éternelle et de droit divin – le Roi ne sera pas élu par le peuple, mais c’est Dieu le Père qui Lui donnera Son règne (cf. Luc 22 :29).
Mais la Bible ne s’arrête pas là. Puisque le Christ sera le Roi « des rois », cela signifie qu’il y aura d’autres rois sous Son autorité ! Qui sont-ils ?
Si vous lisez régulièrement les publications du Monde de Demain, vous savez que la France, la Belgique et la Suisse sont des pays de souche israélite qui font partie des dix tribus « perdues » d’Israël.
« Voici, je prendrai les enfants d’Israël du milieu des nations où ils sont allés […] Je ferai d’eux une seule nation dans le pays […] ils ne formeront plus deux nations [Israël et Juda]. » Les douze tribus d’Israël et de Juda seront enfin réunies et « David sera leur roi » (Ézéchiel 37 :21-24).
Mais la Bible est encore plus précise ! Voyez ce que Jésus déclara à Ses apôtres peu avant Sa crucifixion : « Vous serez de même assis sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël » (Matthieu 19 :28). Quelle précision ! Parmi les milliards d’êtres humains ayant vécu sur terre, la Bible nous dit que dans le Royaume de Dieu, chaque tribu d’Israël sera dirigée par un des douze apôtres, sous l’autorité du roi David, lui-même sous l’autorité du Christ !
Nous ne connaissons pas encore les noms des dirigeants français, belges et suisses pour la prochaine décennie, mais nous connaissons déjà les noms de ceux qui régneront sur ces peuples dans le Royaume de Dieu !
Savez-vous que si vous faites votre part, vous avez la possibilité de venir allonger cette liste de dirigeants dans le Royaume de Dieu ? Lisez notre brochure intitulée Votre ultime destinée pour connaître l’avenir merveilleux que Dieu vous prépare !