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Alors que ce pays ravagé lutte pour récupérer, des questions troublantes demeurent : Pourquoi Dieu permet-Il la souffrance ? Quand les tragédies prendront-elles fin ? Il y a une réponse !
Le 12 janvier 2010, l’île d’Haïti fut secouée par le pire tremblement de terre dans la région depuis deux siècles. La catastrophe a engendré d’horribles souffrances, au-delà de toute description : plus de 300.000 morts, des centaines de milliers de blessés, et plus d’un million de sans-abris.
Le Palais national – la « Maison Blanche » d’Haïti – n’est plus qu’un amas de décombres. Le Parlement, le siège des Nations Unies et pratiquement tous les bâtiments du gouvernement sont désormais inhabitables. Églises, écoles et banques ont été détruites, tout comme le plus bel hôtel de la capitale d’Haïti. Les hôpitaux et les postes de police, qui auraient dû servir aux victimes, ne sont que ruines.
Comme le rapportent les rédacteurs de la revue TIME : « En Haïti, tout a disparu : l’ordre, la sécurité, le confort. Mais c’est avant tout la dignité qui a péri » (Haiti : Tragedy and Hope, 2 mars 2010, page 16. C’est nous qui traduisons tout au long de cet article). Les cadavres ont été empilés le long des routes où déambulent péniblement des survivants, les uns à la recherche de proches disparus, les autres errant sans but, en état de choc.
Même un an plus tard, avec l’épidémie de choléra qui a tué près de 2000 Haïtiens début décembre, il reste difficile de saisir pleinement l’ampleur de la catastrophe et la gravité des dommages subis par une nation déjà en difficulté.
Mais pourquoi un tel désastre s’est-il abattu sur un peuple déjà accablé par la pauvreté, le chômage et la corruption ? Lorsque le tremblement de terre frappa, en ce 12 janvier, certains n’ont pas hésité à chercher le coupable d’une telle catastrophe. On a dit que Dieu punissait Haïti, suite à un prétendu « pacte conclu avec le diable » sous l’influence vaudou, afin de chasser les colons français à la fin du 18ème siècle. L’auteur Jeanne Pocius souligne l’empressement de certains chefs religieux à fustiger les autres religions. « Malheureusement, certaines des sectes religieuses moins importantes ont adopté une tactique “d’évangélisation accusatoire”. On blâme à tort les autres, diverses sectes accusant […] tel autre d’avoir enflammé la colère de Dieu, qui par le tremblement de terre aurait frappé les pécheurs. On oublie que, bien entendu, toute la société a subi des pertes : chaque confession se retrouve face à des lieux de culte détruits ; toutes ont perdu des membres et souffrent du tremblement de terre et de ses conséquences » (Shaken, Not Stirred : À Survivor’s Account of the January 12, 2010 Earthquake in Haiti, page 190).
Il est facile de condamner autrui lorsque le monde traverse des périodes difficiles. On veut comprendre pourquoi les faits sont ce qu’ils sont, surtout quand cela va mal. Pourquoi alors cette catastrophe en Haïti ? Et au sens plus large, pourquoi tant de malheurs dans tous les coins du monde ?
Il y a près de deux mille ans, Jésus-Christ posa cette même question à Ses disciples. Sa réponse nous est utile de nos jours, alors que nous cherchons des réponses en ces temps de grandes pertes. Notons bien : « En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : Croyez-vous que ces Galiléens aient été de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis […] Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu’elle a tuées, croyez-vous qu’elles aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis » (Luc 13 :1-5).
Jésus-Christ expliqua clairement que de grandes souffrances ne sont pas nécessairement causées par de plus grands péchés. Parfois, les accidents dépendent simplement « du temps et des circonstances » (Écclésiaste 9 :11). Nous avons assurément besoin de demander à Dieu de nous protéger et de nous guider tous les jours de notre vie. Et l’exemple donné par le Christ devrait nous apprendre à ne pas condamner les autres quand arrive un malheur, car « on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l’on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez » (Matthieu 7 :2). Dieu est notre juge – Il est aussi celui de notre prochain (Romains 14 :4).
Remarquons également un autre aspect des paroles du Christ dans Luc 13. Après avoir expliqué que les hommes dont Il parlait n’étaient pas de plus grands pécheurs que les autres, le Christ donna ce puissant avertissement : « Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également » (verset 5). Ni les Galiléens, ni les victimes de la tour de Siloé – ni les Haïtiens qui ont souffert du tremblement de terre en 2010 – ne sont de plus grands pécheurs que le reste d’entre nous. Et à moins que nous nous repentions, nous périrons tous également !
Quelle leçon devons-nous retenir d’Haïti ? Que pouvons-nous apprendre de la grande destruction subie par cette petite nation des Caraïbes ? Et que devons-nous apprendre de toutes les souffrances endurées par l’humanité depuis l’aube de la création ? La catastrophe en Haïti n’est pas la première de l’Histoire, ce ne sera pas la dernière. Les six mille ans de l’histoire de l’humanité ont trop souvent été synonymes de douleur, de chagrin et de souffrance. Mais pourquoi ? Où cela a-t-il commencé ? Où cela finira-t-il ?
Lorsque Dieu créa le premier homme, Il le plaça dans le jardin d’Éden. Dieu expliqua à Adam, puis à sa femme Ève, comment jouir du monde qu’Il avait créé pour eux. Nous lisons : « L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint une âme vivante […] L’Éternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour le garder. L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 :7, 15-17).
C’étaient là les règles très simples de Dieu. Mais ensuite Satan le diable entra en scène. Cet être spirituel avait été le grand archange Lucifer, qui devint Satan, « l’adversaire », lorsqu’il se rebella contre Dieu (Ésaïe 14 :12-14 ; Ézéchiel 28 :14-17). Satan séduisit Ève : elle ne tint pas compte des instructions divines et mangea du fruit. De par son péché et de par la décision de son mari de la suivre dans cet acte de rébellion, le péché entra dans la famille humaine. Par ce choix, ils s’attirèrent la douleur, le chagrin et la souffrance. Remarquez les paroles de Dieu à l’égard d’Ève : « Il dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur ; et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi » (Genèse 3 :16). Quant à Adam, Il lui dit : « Le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière » (Genèse 3 :17-19).
Adam et Ève firent l’expérience de la souffrance, suite au péché, et encoururent la peine de mort (Romains 3 :23 ; 6 :23). Depuis lors, toute l’humanité a suivi cette voie, en en récoltant ainsi les tristes conséquences (1 Corinthiens 15 : 21-22). Les souffrances continues des millénaires passés, et qui perdurent de nos jours, y puisent leur origine.
Et pourtant, si Dieu est Tout-puissant, compatissant et bon, ne pourrait-Il pas faire cesser la douleur ? Pourquoi permet-Il aux hommes, de génération en génération, de subir d’horribles souffrances ? Ces questions concernent directement la cause des maux du monde, et en voici la réponse : notre monde n’est pas le monde de notre Père céleste. Il y a bien longtemps, Dieu le Père accorda la souveraineté sur la terre à l’archange Lucifer, l’être qui, par sa rébellion, devint Satan le diable. Les Écritures se réfèrent à Satan, qui a aveuglé ceux qui ne croient pas en l’Évangile, comme étant le « dieu de ce siècle » (2 Corinthiens 4 :3-4). Il est également appelé le « prince de la puissance de l’air […] l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion » (Ephésiens 2 :2). Satan pousse l’humanité à la haine, au désir, à l’envie et à la convoitise, et il en découle les conséquences du péché. L’apôtre Jean nous avertit de n’aimer ni les voies de Satan ni son monde, de peur que nous ne récoltions les mêmes conséquences que les autres : « N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement » (1 Jean 2 :15-17).
La Bible promet un monde à venir meilleur, lorsque Jésus-Christ reviendra pour gouverner la terre. Mais ce n’est pas encore le moment. Rappelez-vous des paroles du Christ à Pilate : « Mon royaume n’est pas de ce monde […] Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi […] mais maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas » (Jean 18 :36). Notre monde n’est pas encore le monde de Dieu. Il est sous l’emprise de Satan, que le Christ appelle le « prince du monde » (Jean 14 :30).
Ne vous y méprenez pas : Dieu est toujours plus puissant que Satan. Et Dieu aime les êtres humains, qu’Il a créés afin qu’ils deviennent littéralement Ses enfants (1 Jean 4 :8, 16). Pourquoi Dieu permet-Il donc à Satan de causer de tels dégâts ? L’histoire biblique de Job nous aidera à comprendre les raisons des souffrances.
Au début du livre de Job, Satan lui-même se présente devant Dieu, au milieu d’autres êtres célestes. Dans le discours qui suit, Dieu permet à Satan de frapper Job, dans certaines limites. L’objectif de Satan était de dresser Job contre Dieu et de le détruire. Mais le plan de Dieu consistait à utiliser la colère de Satan pour mettre Job à l’épreuve, afin de lui permettre d’approfondir sa foi et de croître spirituellement.
Que se passa-t-il donc ? Des brigands enlevèrent les bœufs et les ânesses de Job (Job 1 : 14-15), la foudre consuma ses brebis et leurs bergers (verset 16), des bandits chaldéens volèrent un troupeau de chameaux et tuèrent leurs gardiens (verset 17). Puis l’on rapporta à Job une grande tragédie : « Tes fils et tes filles mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère aîné ; et voici, un grand vent est venu de l’autre côté du désert, et a frappé contre les quatre coins de la maison ; elle s’est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts » (versets 18-19).
Imaginez la douleur de Job !Quelle terrible tragédie ! En un jour, Job perdit la plupart de ses richesses et une grande partie de sa famille. Pourtant ses souffrances ne faisaient que commencer. Dieu permit à Satan de frapper davantage Job, en lui ordonnant toutefois d’épargner sa vie. « Et Satan se retira de devant la face de l’Éternel. Puis il frappa Job d’un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu’au sommet de la tête […] Sa femme lui dit : Tu demeures ferme dans ton intégrité ! Maudis Dieu, et meurs ! Mais Job lui répondit : Tu parles comme une femme insensée. Quoi ! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! En tout cela, Job ne pécha point par ses lèvres » (Job 2 :7, 9-10).
La souffrance de Job était telle qu’il aurait préféré ne jamais naître (Job 3 :1) et être anéanti par Dieu (Job 6 :9). Il se retrouvait face à la douloureuse question : Pourquoi ? Dieu était-Il injuste ? Ce fut une lutte monumentale. Job voulait faire comparaître Dieu « en justice » pour avoir permis le déroulement de tous ces maux (Job 9 :19, 32-33). Il était amer, dans l’incapacité de poursuivre Dieu pour toute l’injustice qu’Il avait permise !
Que recherchait Dieu ? Pourquoi laissa-t-Il Job souffrir autant ? Il permit cette grande épreuve afin d’adoucir le cœur de Job et de l’amener à un repentir plus profond.
Job réalisa finalement qu’il avait accusé Dieu d’une façon injuste et irréfléchie. Il commença à comprendre que Dieu est toujours juste, et qu’Il a toujours notre bien-être ultime à l’esprit. Bien que nous puissions ne pas le comprendre lors de nos souffrances, Dieu a pour dessein d’utiliser toutes nos expériences pour nous conduire à la repentance. Job finit par louer Dieu pour Sa sagesse et Son équité. Il Le remercia de l’avoir aidé à se repentir plus profondément de ses péchés. « Mon oreille avait entendu parler de toi ; mais maintenant mon œil t’a vu. C’est pourquoi je me condamne et je me repens sur la poussière et sur la cendre » (Job 42 :5-6).
Tout comme dans le cas de Job, Dieu veut que chacun de nous Lui obéisse et Lui fasse confiance, en cherchant à se repentir plus profondément. Au cours de ce processus, Il permet parfois que nous souffrions parce que nous vivons dans le monde de Satan ; il nous faut résister à ce dernier et le rejeter ! La vie éphémère que nous connaissons ici-bas est tel un « laboratoire » dans lequel Dieu nous a placés, afin que nous apprenions ce que sont le caractère et la soumission à Sa volonté. Lorsque nous traversons de grandes épreuves, nous apprenons à nous fier plus entièrement en Dieu (Jacques 1 :2-4).
Le prophète Ésaïe écrivit : « Cherchez l’Éternel pendant qu’il se trouve ; invoquez-le, tandis qu’il est près. Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme d’iniquité ses pensées ; qu’il retourne à l’Éternel, qui aura pitié de lui, à notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner » (Ésaïe 55 :6-7). Les pensées qui nous sont naturelles ne sont pas les pensées de Dieu. Les voies que nous suivons spontanément ne sont pas Ses voies (verset 8). Dieu a donc alloué six mille ans à l’humanité pour qu’elle suive ses propres voies et qu’elle fasse l’expérience de vivre sans Dieu, en menant une vie selon les sentiers égoïstes de Satan, et dont ne découlent que douleurs, regrets et remords. Pourtant, même au sein du monde de Satan, nous pouvons être sauvés si nous nous tournons vers Dieu de tout notre cœur ! « Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance » (2 Pierre 3 :9).
Oui, un monde meilleur doit venir, après le retour de Jésus-Christ pour établir Son Royaume. Et pourtant, aussi choquant cela soit-il, une humanité rebelle déclenchera une attaque massive contre le Christ lors de Son retour sur terre, à Jérusalem. Des esprits impurs exciteront « les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu Tout-puissant […] Ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Harmaguédon » (Apocalypse 16 :14, 16). Ces armées rassemblées tenteront de vaincre le Christ, lors de Son retour sur terre. Bien entendu, elles ne l’emporteront pas, car « l’Éternel paraîtra, et il combattra ces nations, comme il combat au jour de la bataille » (Zacharie 14 :3). Le Christ triomphera définitivement de tous ceux qui, en opposition à Ses voies, tenteront de prolonger le règne despotique de Satan sur la terre.
Les pieds de Jésus-Christ se poseront sur la montagne des Oliviers, qui « se fendra par le milieu, à l’orient et à l’occident, et il se formera une très grande vallée » (verset 4). Un énorme tremblement de terre, tel qu’il n’y en a jamais eu, ébranlera la terre, si bien qu’en comparaison, le tragique séisme en Haïti semblera faible. Les villes des nations tomberont, les îles disparaîtront, et les montagnes seront nivelées (Apocalypse 16 :18-20). Pourquoi ? Pour montrer une fois pour toutes que la société humaine, sans Dieu, ne peut subsister et ne durera pas.
Même après ce terrible fléau, certains blasphémeront encore Dieu (verset 21). Mais alors que retombera la poussière, les débris seront déblayés et feront place à un vaste programme de reconstruction à travers le monde. Les survivants seront consolés, soignés et instruits dans les voies divines. « Les rachetés de l’Éternel retourneront, ils iront à Sion avec chants de triomphe, et une joie éternelle couronnera leur tête ; l’allégresse et la joie s’approcheront, la douleur et les gémissements s’enfuiront » (Ésaïe 35 :10).
Une nouvelle société, paisible et harmonieuse, émergera, sur le fondement des lois et des voies divines. L’Esprit de Dieu sera répandu sur toute chair (Joël 2 :28-29). Un monde nouveau sera édifié, plein de joie et de bonheur. Pensez-y ! Les gens prendront soin de leurs voisins. Les maris aimeront leur épouse, et les femmes aimeront leur mari. Les parents élèveront leurs enfants « en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur » (Ephésiens 6 :4). La paix règnera, les bêtes sauvages ne causeront « ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte ; car la terre sera remplie de la connaissance de l’Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent » (Ésaïe 11 : 9). Oui, un monde merveilleux arrive !
Vous pouvez vous préparer dès à présent à ce Royaume. Demandez à Dieu de vous accorder la repentance et la compréhension, afin de véritablement suivre Ses voies, comme jamais auparavant. Vous pouvez participer à l’édification de cette nouvelle société à venir bientôt ! Le prophète Ésaïe déclare à ceux qui cherchent sincèrement Dieu : « L’Éternel sera toujours ton guide, il rassasiera ton âme dans les lieux arides, et il redonnera de la vigueur à tes membres […] Les tiens rebâtiront sur d’anciennes ruines, tu relèveras des fondements antiques » (Ésaïe 58 :11-12). Le moment viendra où la souffrance et la destruction dont nous sommes témoins tout autour de nous – en Haïti et à travers le monde – ne seront plus qu’un lointain souvenir. Puisse Dieu hâter la venue de ce jour-là !