Qui était le Dieu de l’Ancien Testament ? | Le Monde de Demain

Qui était le Dieu de l’Ancien Testament ?

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La plupart des érudits et des commentateurs religieux connaissent les textes de la Bible dont il sera question dans cet article. Ils sont conscients que beaucoup de passages bibliques sont sans aucune ambiguïté. Néanmoins, la plupart d’entre eux évitent ces textes comme la peste ! Ou alors, ils s’arrangent pour exécuter – avec des commentaires émouvants – une petite « pirouette » verbale avant de glisser sur des sujets « sans danger », en évitant de la sorte de traiter ces passages à fond. POURQUOI ?

Pourquoi des dirigeants chrétiens s’effrayent-ils du fait que Celui qui devint Jésus-Christ a toujours existé avec Dieu le Père, éternellement ? Qu’Il fut le Dieu de l’Ancien Testament – le Dieu qui parla à Abraham et à Moïse – le Dieu de David, Celui qui énonça littéralement les Dix Commandements ? Pourquoi avoir peur de ces enseignements bibliques limpides ?

Nous expliquerons, plus tard, les origines obscures de cette crainte. Mais, premièrement, il nous faut comprendre la véritable origine de Jésus-Christ – Celui qui mourut pour nos péchés. Qui donc était réellement Jésus-Christ ? D’où venait-Il ? Pour quelle raison Sa seule vie suffisait-elle à racheter le prix de toutes les vies humaines – celles des MILLIARDS d’entre nous ? Il est très important de connaître la vérité sur ce sujet. Ce thème est fort inspirant !

Les origines de Jésus-Christ

L’apôtre Jean révèle que Celui qui devint Jésus-Christ avait existé de toute éternité : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elles, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle » (Jean 1 :1-3).

Ici, Jean souligne que la Parole – le Logos ou le Porte-Parole – était avec Dieu dès le commencement. Il fut l’Agent créateur de toutes choses – agissant pour Dieu le Père. Plus tard : « Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne la point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue. Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (versets 10-12).

Dans d’autres passages, l’apôtre Paul souligne la même chose. Dans Colossiens 1 :15-16, il dit de Jésus-Christ : « Le Fils est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. » L’Épître aux Hébreux nous dit aussi : « Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils ; il l’a établi héritier de toutes choses ; par lui il a aussi créé l’univers » (Hébreux 1 :2). Et encore : « Mais il a dit au Fils : Ton trône, ô Dieu, est éternel ; le sceptre de ton règne est un sceptre d’équité » (verset 8). Et finalement : « Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, et les cieux sont l’ouvrage de tes mains » (verset 10).

Notez que le verset 9 s’adresse au Christ par « Ô DIEU ». Le Christ est décrit comme Celui qui a « créé l’univers » (verset 2), et qui a « fondé la terre » (verset 10). Absolument rien n’indique que ces versets écrits par Paul et Jean ne soient de la « poésie » ou des métaphores ! Ils déclarent tout simplement que l’Être qui devint Jésus-Christ était « au commencement » avec le Père, qu’Il était la « Parole » ou le Porte-Parole, et que TOUTES choses furent directement créées par Lui : Jésus-Christ !

Comment tout cela est-il arrivé ?

Reportons-nous à Genèse 1 :1 pour lire : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Tous les érudits savent que le mot hébreu, traduit ici par Dieu, est « Elohim ». Ce nom a un sens pluriel, comme par exemple une Église ou une famille ; une famille comprend plusieurs membres. Et maintenant, remarquez Genèse 1 :26 : « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. »

Notez que Dieu a dit : « FAISONS l’homme à NOTRE image. » Ainsi, le Père et le Logos ou « la Parole » – qui naquit plus tard en tant que Jésus de Nazareth – sont tous deux inclus dans ce passage. Agissant pour Celui que nous appelons Dieu « le Père », Celui qui devint Jésus-Christ fut employé par le Père, dès le commencement.

Nous constatons également cela dans Genèse 18. Là, le Logos apparaît à Abraham, à Moïse et à d’autres sous forme humaine – avec cependant une « particularité » qui permit à Abraham de reconnaître qu’il était en face de « l’Éternel » (versets 3, 27). Après que l’Éternel eut expliqué à Abraham qu’Il avait décidé de détruire Sodome et Gomorrhe, à cause de leurs perversions, Abraham demanda : « Celui qui juge toute la terre n’exercera-t-il pas la justice ? » (verset 25).

Il est certain qu’Abraham était ici en contact avec Celui qui devint Jésus-Christ ! En effet, le Christ révéla plus tard : « Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils » (Jean 5 :22). Abraham n’était PAS en présence de Dieu le Père, car la Bible dit : « PERSONNE n’a jamais vu Dieu » (Jean 1 :18).

Jésus Lui-même a dit : « Abraham, votre Père, a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour : il l’a vu, et il s’est réjoui. Les Juifs lui dirent : Tu n’as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham ! Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je SUIS » Jean 8 :56-58.Il s’agit là d’une référence au Dieu d’Israël. Ces Juifs pensèrent que Jésus mentait et blasphémait, ainsi, « ils prirent des pierres pour les jeter contre lui » (verset 59). Ils étaient AVEUGLES au fait que la Personne qui devint Jésus était, en fait, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël ! Ils étaient en train de parler à Celui qui était leur Dieu ! Mais ils ne le savaient pas.

Le Christ était le “Dieu d’Israël”

Dans Matthieu 22 :42-45, Jésus défia les chefs religieux, en disant : « Que pensez-vous du Christ ? De qui est-il fils ? Ils lui répondirent : De David. Et Jésus leur dit : Comment donc David, animé par l’Esprit, l’appelle-t-il Seigneur, lorsqu’il dit : Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied ? Si donc David l’appelle Seigneur, comment est-il son fils ? » Les pharisiens furent incapables de Lui répondre, car ils savaient que le Seigneur du roi David n’était pas un être humain. Ce passage des Écritures fait référence à deux Personnes de la Famille divine – le rang de l’une étant plus important que celui de l’autre. Et, comme cela devrait être manifeste pour nous, le « Seigneur » direct de David – celui qui devint plus tard Jésus de Nazareth – devait S’asseoir à la droite du Père JUSQU’A CE QUE le temps vînt pour Lui de devenir Roi des rois.

Cependant, les Juifs savaient que le Messie serait littéralement un « fils de David ». Mais alors, comment se pouvait-il que le « Seigneur » de David eût pu avoir au-dessus de Lui un Seigneur « plus grand », qui lui dictait ce qu’Il avait à faire ?

Dans 1 Corinthiens 10 :1-4, nous lisons que l’ancien Israël avait été baptisé en Moïse « et qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un ROCHER spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ ». Il est parfaitement clair – comme l’admettent certains commentaires – que l’Être spirituel qui conduisait l’ancien Israël était Celui qui devint le Christ. Car, comme nous l’avons vu, Jésus avait dit que « personne » n’a jamais vu « Dieu » – parlant évidemment de Celui que nous appelons le Père. Cependant, nous constatons que, juste après avoir donné les Dix Commandements et certains statuts à l’ancien Israël, le « Dieu d’Israël » apparut à plusieurs chefs de la nation ! « Moïse monta avec Aaron, Nadab et Abihu, et soixante-dix anciens d’Israël. Ils virent le Dieu d’Israël ; sous ses pieds, c’était comme un ouvrage de saphir transparent, comme le ciel lui-même dans sa pureté. Il n’étendit pas sa main sur l’élite des enfants d’Israël. Ils virent Dieu, et ils mangèrent et burent » (Exode 24 :9-11). Ainsi, plus de soixante-dix dirigeants d’Israël « VIRENT » le Dieu d’Israël. Pourrait-on s’exprimer plus clairement ?

Il s’agit de Celui qui devint Jésus-Christ, qui marcha et parla littéralement avec Adam et Ève dans le jardin d’Éden. C’est Lui qui fut en rapport direct avec Abraham, Isaac et Jacob. Lui qui parla « bouche à bouche » avec Moïse (Nombres 12 :8). C’est Lui qui énuméra les Dix Commandements du haut du mont Sinaï !

POURQUOI cette vérité est-elle rarement acceptée ?

Si vous comprenez la dernière phrase du paragraphe précédent, vous commencerez à saisir pourquoi tant de prêtres et de ministres du culte, mal à l’aise, préfèrent ne pas aborder le sujet de l’origine véritable de Jésus-Christ. En effet, ils ont quasiment reçu l’enseignement que les Dix Commandements étaient le produit d’un « Dieu cruel de l’Ancien Testament » et que Jésus, d’une manière ou d’une autre « comprenait mieux » que son Père ! De même, beaucoup pensent que l’apôtre Paul « comprenait mieux » que le Père et le Fils – et qu’il a aboli les Dix Commandements.

Ces hommes égarés sont probablement sincères, mais ils sont « aveugles » (2 Corinthiens 4 :3-4) – comme l’est l’humanité, dans son ensemble. Rappelez-vous les instructions de Jésus, relatives à la plupart des dirigeants religieux de Son époque : « Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse » (Matthieu 15 :14).

Il est embarrassant – pour ceux qui ont appris que les Dix Commandements sont « démodés » – d’admettre que c’est Celui qui allait devenir Jésus-Christ qui avait justement donné ces Dix Commandements, codifiés à Moïse. C’est Lui qui décréta, comme faisant partie intégrante de la grande Loi spirituelle : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le SEPTIÈME jour : c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié » (Exode 20 :8-11).

La plupart des ministres du culte comprennent que Dieu, par le Christ, ordonna spécialement à Son peuple d’observer le septième jour – PAS un autre jour. Ils savent que, durant toute Sa vie terrestre, Jésus observa le sabbat du septième jour – le même jour qu’observaient les autres Juifs. Il est probable, également, qu’ils réalisent que les premiers apôtres observaient le sabbat du septième jour. En accord avec d’autres érudits célèbres, l’historien Jesse Lyman Hurlbut, un protestant, reconnaît : « Le sabbat hébreu fut observé aussi longtemps que l’Église se composait principalement de Juifs » (L’histoire de l’Église chrétienne, page 45. C’est nous qui traduisons).

La plupart des ministres comprennent aussi que le rédacteur inspiré de l’Épître aux Hébreux a dit : « Jésus-Christ est le MÊME hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux 13 :8). Ils savent également que ni le Christ, ni les apôtres n’ont tenté de prendre « leurs distances » à l’égard du sabbat de la Bible. S’ils avaient tenté une telle chose à leur époque, pour renverser un précepte MAJEUR venant de Dieu Lui-même, les Juifs qui les entouraient auraient déclenché une émeute, les auraient persécutés sans merci, en leur interdisant d’adorer au temple comme ils le firent durant de nombreuses années – et ils les auraient vite accusés d’hérétiques et de HORS LA LOI. L’énorme bouleversement que cela aurait entraîné aurait, en comparaison, relégué la discussion des Juifs sur la circoncision – mentionnée en Actes 15 – au niveau d’une agréable discussion entre « gens de bonne compagnie » !

Bien sûr, aucun changement semblable ne fut jamais ni discuté ni opéré par le Christ ou par les apôtres dans la grande LOI spirituelle de Dieu. Un quart de siècle après la résurrection, et après que le Saint-Esprit fut descendu sur l’Église primitive pour la guider, les premiers chrétiens continuaient à être « zélés » pour la LOI (Actes 21 :20). Même l’apôtre Paul obéissait encore à la Loi spirituelle de Dieu, c’est-à-dire aux Dix Commandements. Notez à ce propos le compte-rendu des instructions inspirées de l’apôtre Jacques du « siège central » à Paul : « Prends-les avec toi, purifie-toi avec eux, et pourvois à leur dépense, afin qu’ils se rasent la tête. Et ainsi tous sauront que ce qu’ils ont entendu dire sur ton compte est faux, mais que toi aussi tu te conduis en observateur de la loi » (Actes 21 :24).

La conséquence logique de cette VÉRITÉ

Il est possible que si l’on enseignait, à tous ceux qui se disent chrétiens, que Celui qui est devenu leur Sauveur est le même Être qui donna les Dix Commandements, ces gens feraient les choses différemment. Le monde serait probablement un endroit beaucoup plus sûr ! Tout le monde réaliserait que le véritable christianisme est une religion basée sur une LOI IMMUABLE – un mode de vie fondé sur la grande Loi spirituelle de Dieu. Ils apprendraient qu’en dépit du fait que personne n’est parfait et que chacun doit CROÎTRE dans le caractère du Christ, il serait possible de suivre l’exemple inspiré du Christ, grâce au Saint-Esprit qui réside en nous.

Comme l’apôtre Paul l’a écrit : « J’ai été crucifié avec Christ ; et [...] si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi » (Galates 2 :20). Les chrétiens comprendraient ensuite les explications du bien-aimé apôtre Jean, relatives au véritable amour de Dieu et COMMENT il agit : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :3). Ils liraient avec une autre compréhension la déclaration inspirée de Jean dans Apocalypse 14 :12 : « C’est ici la persévérance des saints, qui GARDENT les COMMANDEMENTS de Dieu et la foi de Jésus. »

Le véritable Christ a clairement révélé, dans la Bible, qu’Il coexiste de toute éternité avec le Père. Lui et le Père ont planifié ensemble la création de l’humanité. En parlant de Lui-même et du Père, le Logos – qui devint le Christ – a dit : « FAISONS l’homme à NOTRE image. » Environ 4000 ans plus tard, le Logos abandonnait la gloire, la puissance et la majesté inestimables qu’il avait toujours partagée avec le Père.

L’apôtre Paul nous dit que le Christ S’est « dépouillé » Lui-même « en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et il a paru comme un vrai homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2 :7-11).

Jésus a dit : « Moi et le Père nous sommes UN » (Jean 10 :30). Ainsi, Celui qui fut totalement « un » avec Dieu – et qui était DIEU – « se dépouilla Lui-même » pour devenir notre Sauveur. Sa vie vaut plus que TOUTES les vies combinées, car Il n’a pas seulement créé la race humaine, mais également l’univers entier. En rachetant et en payant à notre place l’amende de nos péchés par Sa mort sur la croix, le Christ est devenu doublement notre « propriétaire ». Il est notre Créateur. Il est notre Dieu. Il est notre Maître.

Cependant, après la mort des premiers apôtres, une grande apostasie s’appropria le nom de « christianisme ». Les enseignements et les exemples du Christ et des apôtres commencèrent à être altérés. Le concept même du Christ, notre réel « Maître » fut dilué et affecté. Il commença à être perçu comme un « Seigneur » qui ne demandait pas l’obéissance à la LOI spirituelle – aux Dix Commandements – qu’Il avait donnés à l’humanité. Son enseignement clair et continuel : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17) n’était plus considéré en tant qu’instructions destinées aux Juifs. De la même manière, les fortes déclarations de l’apôtre Jean, telles que « Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui » (1 Jean 2 :4) furent oubliées. Ces déclarations limpides furent interprétées erronément comme devant uniquement s’appliquer à « l’esprit » de la loi, ou à quelques « nouveaux » commandements de Jésus. Mais, quand vous étudiez ces nouveaux commandements, vous pouvez constater qu’ils sont une extension des Dix Commandements que Jésus, en personne, donna sur le mont Sinaï ! Or, « Jésus-Christ est le MÊME hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux 13 :8).

Puisse Dieu vous aider à COMPRENDRE et à répondre positivement au véritable Jésus-Christ de la Bible ! Comme Il a dit : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6 :46). Si vous cherchez vraiment à obéir au Christ de la Bible, écrivez-nous aujourd’hui même pour recevoir un exemplaire GRATUIT de notre brochure intitulée Quel est le jour du sabbat chrétien ?

Nous sommes en train de restaurer le christianisme apostolique, la religion que le Christ et les apôtres ont enseignée et pratiquée. Le Christ Vivant – Celui qui existe avec le Père de toute éternité – vous guide, vous fortifie et vous bénit SI vous êtes déterminé à faire ce qu’Il dit, et que vous ne L’adorez pas seulement comme Sauveur, mais aussi comme Seigneur et Maître à jamais.

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